« Je voyais tout cela pour la première fois, c'était un choc :
des tableaux énormes, quelque chose d'inconnu, un espace tout à fait nouveau. Peut-être que j'ai ressenti ce choc parce que j'étais
arrivé à un moment où j'avais besoin de me libérer.
J'ai compris que je ne pouvais plus retourner chez mon professeur,
me limiter au monde que je connaissais. J'ai pris deux valises
et suis parti à Paris. »