Quatre tableaux de Stämpfli font partie de la sélection suisse
de la 3e Biennale de Paris : Autoportrait au raglan, Pot-au-feu,
Ma voiture, Rubis.
Dans la revue Art International, premier texte sur Stämpfli
par Gérald Gassiot-Talabot qui sera le critique
de la Figuration narrative.
« Je connaissais évidemment déjà un peu le pop art par les revues mais [les] expositions m'ont beaucoup frappé, en particulier celles
de Lichtenstein et de Wesselmann chez qui je retrouvais
mon problème dans les natures mortes avec des collages.
Par contre, Rosenquist, dont on m'a souvent rapproché, est celui avec lequel je me sentais le moins de contact.
On a fait des rapprochements à cause de la manière de peindre, traditionnelle, mais je trouvais son travail trop explicatif, au niveau
de la relation d'images. »
« 3e Biennale de Paris », Musée d'Art moderne de la Ville de Paris.